27 octobre 2006

Utiliser les notices bibliographiques : le trio Firefox, Zotero, OpenOffice

Ce billet s'appuie sur le précédent

Avant de faire fonctionner ces trois logiciels ensemble, il faut d'abord en disposer sur son ordinateur.
Donc il faut télécharger :
Dans Firefox, en cliquant sur
Ctr+Alt+Z
on fait apparaître une fenêtre en bas de page : c'est Zotero.
Copie d'écran Zotero

Quand on a récupéré des notices sur Internet avec Zotero, on peut les extraire sur son poste, par exemple au format RIS. Cela fait un fichier texte ayant une extension .ris.
Il faut récupérer automatiquement ce fichier dans OpenOffice, et c'est là qu'il faut un peu mettre les mains dans le cambouis... (mais une fois que tout est en place, c'est tellement plus commode&npsb;!)
[Je traduis pour la suite les instructions du concepteur du petit programme permettant l'import de notices RIS dans OpenOffice]
  1. Enregistrer sur son ordinateur le fichier RISImport.py (fichier texte de programmation), par exemple dans C:\Program Files\OpenOffice.org 2.0\Bibliography.
  2. Cliquer avec le bouton droit sur "Poste de travail", et choisir la ligne "Proriétés". Dans la nouvelle fenêtre, cliquer sur l'onglet "Avancé" puis "Variable d'environnement".


  3. Dans la partie inférieure, choisissez la ligne "Path", et cliquez sur le bouton "modifier"


  4. En fin de ligne, ajouter le texte :
    C:\Program Files\OpenOffice.org 2.0\program;
  5. Aller dans Démarrer (pour utilisateurs de Windows) > Exécuter et entrer le texte :
    soffice "-accept=socket,host=localhost,port=2002;urp;"
  6. C'est presque fini. Retournez dans Démarrer > Exécuter, et tapez : cmd.exe, ce qui vous donne une ligne de commande (commençant par C:\>). Saisissez le texte :
    python "Répertoire_où_est_le_fichier_RISImport.py"
    "Répertoire_où_se trouve_le_fichier_RIS"
  7. Puis vous cliquez sur Entrée
  8. Voilà, les notices sont dans la base bibliographique d'OpenOffice. Vous pouvez les consulter en ouvrant OpenOffice Writer (le traitement de texte d'OpenOffice, équivalent de Word), et en cliquant dans le menu "Outils" sur "Base de données bibliographiques". Les notices ont été chargées dans la base "biblio" (par défaut).
Pour apprendre à utiliser la base bibliographique d'OpenOffice, je vous recommande ce mode d'emploi.
Vous trouvez que ça prend du temps ? Pour trois notices, peut-être.
Mais pour décharger régulièrement une dizaine, une cinquantaine de notices, c'est un investissement rentable !
Lorsque vous l'avez effectué une fois, les chargements suivants se font avec seulement ces étapes :
  1. Enregistrer le fichier .ris
  2. lancer OpenOffice (en double-cliquant sur l'icône)
  3. Aller dans Démarrer > Exécuter, taper "cmd.exe"
  4. Taper
    python "C:\répertoire...\RISImport.py"
    "C:\répertoire...\mes notices.ris"
    Et c'est fini.
Entre ces 4 étapes, et récupérer une liste qu'il faut ensuite reprendre manuellement pour remettre sa propre mise en forme... Si on a devant soi une longue carrière de chercheur, il n'y a pas à hésiter !

Comme je l'ai dit, les notices sont rangées automatiquement dans une base créée par défaut par OpenOffice (avec un tas de notices d'exemples dedans, qu'il vaut mieux supprimer) intitulée "biblio". Il est possible de se créer plusieurs bases bibliographiques dans OpenOffice : "biblio num", "biblio sceaux", "biblio archives", etc. On verra la prochaine fois comment transférer les notices chargées dans "biblio" vers, par exemple, "biblio num". Mais il faut d'abord que je vous fournisse quelques notices pour que ce soit intéressant.

Evidemment, si toutes ces manipulations vous effraient trop, vous pouvez toujours attendre qu'OpenOffice, ou Word, se dotent d'une base bibliographique plus conviviale. Mais ça peut prendre quelques années, et en attendant vous devrez continuer à tout recopier à la main.

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26 octobre 2006

Bibliographie pour la numismatique

Comme dans toutes les disciplines, la numismatique se fait aussi à coup de bibliographies plus ou moins longues, plus ou moins exhaustives, plus ou moins spécialisées, mais de toute façon précieuses.
Et comme dans toutes les disciplines, les chercheurs auraient un fort intérêt à échanger leurs bibliographies, parce que ça peut toujours servir.
Problème : dans quel format ?
En effet ma norme de référencement est la suivante :
NOM (Prénom), « Titre de l’article », Titre de la revue, Année, n° 00, p. 00-00.
Mais pour un collègue, toute sa bibliographie est rédigée de la manière suivante :
Nom, Prénom. Titre de l'article. in Titre de la revue, Année, n° 00, p. 00-00.

Si nous échangeons nos références, évidemment on peut reprendre la présentation des articles un par un. C'est assez pénible, et c'est du gaspillage d'intelligence et de compétence.
Le plus utile, c'est d'utiliser un format bibliographique intermédiaire, qui s'afficherait de la manière suivante (par exemple) :
AUT - Auteur
TIT - Titre de l'article
MAG - Titre de la revue
YEA - Année de parution
VOL - Volume (ou numéro)
PAG - numéros de pages

A charge pour chacun d'avoir un petit programme de présentation pour afficher l'ensemble de ses titres dans son document texte. Il en existe maintenant de très simples, assez aisément manipulables, pour peu qu'on se penche un peu dessus.
Il existe bien évidemment Endnote, mais je n'ai aucune envie de dépenser 400 euros pour ça.
Je pense plutôt m'appuyer sur Zotero, qui est une extension de Firefox, le navigateur alternatif à Internet Explorer (Zotero fonctionne uniquement avec Firefox 2.0), et qui permet de décharger des notices trouvées en ligne (pour peu qu'il reconnaisse l'interface, ou qu'on lui fournisse un format bibliographique reconnu internationalement).
Donc comme j'ai pas mal de bibliographies pour plusieurs ateliers médiévaux, et que bêtement je les ai constitués sous Word, je vais progressivement les passer en format RIS.
J'expliquerai aussi comment utiliser Zotero.
Et à terme j'espère trouver un moyen (simple, c'est impératif, ne serait-ce que parce que "simple", pour moi, ça signifie parfois "incompréhensible" pour d'autres) de passer directement les notices chargées dans Zotero dans OpenOffice.
En effet OpenOffice a un projet de base bibliographique, mais pour l'instant ce n'est qu'un projet. Et aucun outil simple ne le permet encore.

Poussons plus loin -- faisons un rêve !
Je vais sur cette remarquable base de données qu'est la base du Roman Provincian Coinage de l'Ashmolean. Une vingtaine de descriptions de monnaies m'intéressent tout particulièrement. Je coche les notices correspondantes, je clique sur Export.
Les notices se retrouvent dans ma base bibliographique, dans un sous-répertoire Monnaies > Monnaies romaines. Ensuite je les récupère directement sous Excel pour faire des calculs statistiques sur la typologie. Puis sous OpenOffice je les exporte sous forme de notice descriptive plein texte.
Un rêve, je vous dis...

13 octobre 2006

Tables de Poey d'Avant

J'ai remis à jour les tables de Poey d'Avant, avec plusieurs corrections effectuées (l'OCR était très imparfait).

12 octobre 2006

RPC Online : la base du Roman Provincian Coinage de l'Ashmolean Museum (Université d'Oxford)

La réunion de la SFN du 7 octobre m'apprend l'existence d'une base de monnaies provinciales romaines du IIIe siècle ap. J.-C. Je me précipite.

Il s'agit du t. VII de la série RPC (Roman Provincial Coinage), dont plusieurs tomes sont déjà parus au format papier.

Cette base de données recense "13.730 types monétaires, à partir de 46.725 exemplaires" et plus de 9000 monnaies sont accompagnées d'illustrations. Cela donne déjà une idée de la masse brassée.

La zone couverte est la suivante :

Carte de répartition des monnaies

Et la période chronologique la seconde moitié du IIe siècle : les Antonins.

Côté moteur de recherche, plusieurs types de recherche : "Quick search", un simple encart où saisir ses mots. Une ligne d'explication en dessous pour expliquer quel genre d'information il faut rentrer. Son pendant normal, la recherche avancée, qui propose des champs en lien avec la collection (nom ou titre du magistrat, "pseudo-autonome", etc."). Deux outils très précieux sur la recherche de légende :

  • l'affichage optionnel d'un alphabet grec (en cliquant sur une icône représentant un clavier d'ordinateur.
  • La possibilité de préciser si dans la légende recherchée le moteur doit tenir compte des espaces ou non.

Il me semble toutefois que lorsqu'on cherche à identifier une monnaie, on n'est pas toujours à même de déterminer quelle face correspond au droit, et quelle face au revers. Là, il faut choisir de faire sa recherche sur l'un ou sur l'autre, ce qui est un peu dommage.

Pour la recherche d'un type (que l'on retrouve en recherche rapide sans guide, ou en recherche avancée et en "recherche iconographique" avec guide), il est possible de cocher un ou plusieurs types dans une liste (si on en coche plusieurs, on recherche l'un OU l'autre type, et non une monnaie comportant les deux objets sur une même face. C'est utile si on a un doute, notamment, en lisant une monnaie abimée).

La "recherche d'identification" est une très bonne idée, permettant d'indiquer une ville, un type du droit ou un type du revers (un champ chacun, même remarque donc que pour la recherche avancée), une inscription (champ intitulé "Inscription du revers" -- il n'y aurait pas d'inscription au droit ?), une indication de métal (choix dans une liste déroulante), et un diamètre approximatif. La notion d'approximation me plaît beaucoup.

Le principal problème de ces outils, c'est le plurilinguisme : cette base est en anglais (ce qui vaut mieux qu'une base en français), et on n'est pas toujours à même de connaître les équivalences de termes et d'usages d'une langue sur l'autre. Cela dit, pour la plupart des catégories, le moteur propose une liste de choix cochables. Néanmoins une table de correspondances de traductions serait sans doute une bonne solution aussi. Cette table pouvant servir au niveau international, être reprise dans plusieurs bases de données -- et donc être rédigée selon des normes internationales, compréhensibles par les machines aussi -- et donc pas un simple tableau Excel. Je serais pour une TopicMap, personnellement. Parce que ça irait bien avec l'EAD.

Cela donnerait :

<xtm:topic id="COW">
<xtm:instanceOf>
<xtm:topicRef xlink:href="#Types"/>
</xtm:instanceOf>
<xtm:baseName>
<xtm:scope>
<xtm:topicRef xlink:href="#eng"/>
</xtm:scope>
<xtm:baseNameString>Cow</xtm:baseNameString>
</xtm:baseName>
<xtm:baseName>
<xtm:scope>
<xtm:topicRef xlink:href="#ger"/>
</xtm:scope>
<xtm:baseNameString>Kuh</xtm:baseNameString>
</xtm:baseName>
<xtm:baseName>
<xtm:scope>
<xtm:topicRef xlink:href="#fr"/>
</xtm:scope>
<xtm:baseNameString>Vache</xtm:baseNameString>
</xtm:baseName>
</xtm:topic>

Je sais, ça fait peur, mais c'est très utile si on cherche une "vache" comme type monétaire dans un moteur qui va interroger à la fois BN-Opaline (paix à son âme) et l'Ashmolean Museum. Le moteur traduit de lui-même la vache en "cow", et ça devient très intéressant.

Première ligne : le terme de référence. Deuxième ligne : on explique de quel lexique le terme dépend : ici, les types. Ensuite son équivalent en anglais, puis en allemand, puis en français. En fait, pour la plupart des termes, des dictionnaires multilingues et tables de traduction existent déjà (la classification Dewey, par exemple, et moult autres choses).

J'ai un peu quitté l'Ashmolean. J'y reviens.

On dispose d'un panier où stocker les résultats jugés les plus intéressants (afin de les avoir sur une même page pour éventuellement les comparer). Dans le panier, on peut afficher les notices selon deux modes : normal ou tabulé, en sélectionnant les colonnes (= informations) à afficher. Voilà encore une excellente idée. En revanche, je n'ai pas réussi à comprendre comment exporter ensuite une telle liste pour la récupérer sur son poste.

Autres outils de navigation : par empereur, ou par cartes.

Une grande frustration, due sans doute à mon manque de (re)connaissance des outils disponibles : je n'ai pas réussi à trouver des explications sur la structuration de la base. Je suppose que c'est une base de données en SQL, mais j'aimerais bien en être sûr.

Quoi qu'il en soit, c'est un magnifique outil de recherche, ergonomique et sobre, avec tous types d'informations, des guides d'utilisations et plusieurs points d'accès. Un exemple à suivre, à mon avis !

05 octobre 2006

Le catalogue des bibliothèques de la North Carolina State University (NCSU)

Je découvre à l'instant (et je prolongerai dès que possible cette découverte) ce catalogue en ligne, développé par Endeca. Je suis naïf et je m'émerveille pour un rien, mais décidément les fonctionnalités qui sont proposées à l'affichage de la liste de résultats me laissent pantois. Ou disons plus calmement que c'est tout nouveau pour moi.

J'aime !

Je cherche "numismatics" et il m'arrive ceci :


Copie d'écran - Catalogue des bibliothèques de la NCSU

C'est-à-dire un tas de rebonds comme je les aime...
On me propose de limiter ma recherche à un domaine (bloc grisé au-dessus de la liste des résultats) : Philosophie, Psychologie, Religion -- Sciences auxiliaires de l'histoire (qui contient le plus grand nombre de résultats) -- Sciences (1 titre : Corpus of Indus seals and inscriptions) -- Médecine (1 titre également : Ancient ophthalmological agents : a pharmaco-historical study of the collyria and seals for collyria used during Roman antiquity, as well as of the most frequent components of the collyria) -- et d'autres encore.
On me propose également les filtres suivants :
  • Sujet : Numismatics ; Seals (numismatics) ; Commemorative Coins ; etc.
  • Genre : Bibliographies (8) ; Catalogues (8) ; Dictionnaires (4) ; Congrès ; etc.
  • La zone géographique, la période historique
  • Le format
  • Et tout, et tout.
C'est formidable !
Bon, le problème du web 2.0, c'est qu'il y a beaucoup d'effets, tous très impressionnants, et qu'il arrive à la longue qu'on n'ait pas de réelle application à tous les outils proposés. J'attends donc de voir si j'y trouve un réel usage.
Mais j'y vois des idées pour une base de données. Par exemple, pour reprendre le cas des monnaies de l'Ordre de Malte, on pourrait envisager, en cherchant "monnaies Malte", d'avoir des rebonds vers l'Ordre du Temple, vers l'Orient Latin, vers tout un tas de choses...

Un retour d'expérience des bibliothèques de la NCSU (trouvé via Catalogablog)

Le projet Literacy de Google

Je sais, ça ne concerne pas directement la numismatique médiévale, ça concerne les moteurs de recherche. Mais justement, ce dont je souffre le plus pour mes recherches, c'est l'absence d'une bonne grosse base de données de monnaies, institutionnelle, avec tout un tas d'outils de recherche + ressources (photos numérisées, évidemment, mais aussi bibliographies, etc.)

Donc je suis à l'affût de ce que proposent les catalogues divers et variés, mais également les moteurs de recherche sur Internet, qui souvent ne manquent pas d'ingéniosité quant aux fonctionnalités qu'elles inventent, et desquelles les institutions pourraient bien s'inspirer.

Donc j'ai découvert aujourd'hui le portail Littérature de Google. Un des gros reproches que les bibliothécaires ressortent régulièrement (avec raison, du reste) contre Google Book Search, c'est que ce n'est pas une bibliothèque numérique (à la différence de Gallica), c'est un entrepôt de livres. Une bibliothèque doit proposer des parcours (type "dossiers documentaires"), une classification, etc. En d'autres termes, elle doit permettre qu'on puisse se balader dans les rayons (car si tout le monde se sert de Google, quel pourcentage de lecteurs se servent du catalogue de leur bibliothèque ?). Et le seul moyen d'accès aux documents, sur Google Book Search, c'est le moteur de recherche.

Et voilà que Google apparaît sensible à ces remarques, ou plutôt à ces besoins (car s'il développe des outils, ce n'est pas pour faire plaisir aux autres professionnels, c'est parce qu'il pressent que le besoin est réel et que l'utilisation va suivre), et crée un "portail Littérature", "The Literacy Project" (info via la BBC et La Feuille), qui ouvre une fenêtre thématique sur le fonds numérisé de Google Book Search, et sur d'autres ressources de Google : les blogs de Google, les cartes de Google ("Find literacy organisations around the world"), Google Scholar, etc. Car il y a des ouvrages numérisés en lien avec la littérature, il y a des blogs en littérature, il y a des articles sur la littérature, etc.

C'est encore relativement sommaire, car pour le moment ces portails s'appuient uniquement sur des requêtes pré-enregistrées des fonds interrogés (les livres contenant le mot "education" dans Google Book Search, les blogs parlant de littérature enfantine et adulte, etc.). Il n'y a pas encore de classement à proprement parler, d'arborescence par répertoire, etc. Mais au moins l'utilisateur est un peu guidé, il n'a pas à chercher lui-même les mots pertinents (il est vrai qu'il est toujours persuadé de n'avoir pas besoin de les chercher, que ceux auxquels il pense spontanément sont bons, mais bref).

Toujours est-il que l'idée est bonne : il faut proposer de simples clics à l'utilisateur, et il faut que ces nouveaux outils de navigation soient générés automatiquement (car employer des personnes à classer ce genre de fonds, ce seraient vain). La solution, à terme ? RDF, sans doute. Mais on en est évidemment encore bien loin...

PS. : j'avais prévenu (cf. sous le titre la description de ce blog) qu'il serait aussi question de métadonnées...

03 octobre 2006

Les monnaies de l'Ordre de Malte conservées au Cabinet des Médailles de la Bibliothèque nationale de France

J'ai cet inventaire sous le coude, rédigé en 2004.
Après l'avoir mis en Word stylé, j'ai pu le convertir automatiquement en EAD (le catalogage des monnaies en EAD, c'est un de mes grands sujets de préoccupation, de travail et de réflexion).
Mais pour l'instant, je n'ai pas encore de base de données Pleade sous la main pour rendre ce fichier vraiment intéressant.
Et le mettre en HTML pour publication directe sur ce blog !... Rions, car en PDF il fait 106 pages.
Donc voilà, je le donne en PDF, en attendant mieux un jour, peut-être.
Ouvrir le fichier PDF (457.9 Ko).

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Les reproductions de sceaux sur Internet

Voici une page à enrichir progressivement.
J'essaie de référencer les bases de données contenant des sceaux médiévaux.
J'exclue a priori les grands moteurs de recherche, à moins de trouver un mode d'interrogation assez fin pour être pertinent...

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